Définitions, ingrédients, inspirations
Autour de la gouvernance partagée et de la coopération
Le module Gouvernance partagée de la formation Animacoop apporte déjà des éléments de cadrage, nous ne souhaitons pas répéter mais venir en complément de ces apports.Gouvernance partagée = partager le(s) pouvoir(s)
« La gouvernance partagée est une expérience de questionnement et de clarification de l'exercice du pouvoir dans un collectif. »
Pour l'Université du Nous, le terme gouvernance désigne les règles du jeu du "faire ensemble", et notamment la façon dont s’exerce et se distribue le pouvoir.
Partager le(s) pouvoir(s) c'est partager les capacités de... (créer, dire, agir...)...
Mais c'est aussi partager les responsabilités ! Pouvoir et responsabilité sont les 2 faces d'une même pièce !
Pour l'Université du Nous, le terme gouvernance désigne les règles du jeu du "faire ensemble", et notamment la façon dont s’exerce et se distribue le pouvoir.
Partager le(s) pouvoir(s) c'est partager les capacités de... (créer, dire, agir...)...
Mais c'est aussi partager les responsabilités ! Pouvoir et responsabilité sont les 2 faces d'une même pièce !
3 grands principes de gouvernance partagée
En gouvernance partagée, on peut identifier 3 grands principes :
- Authenticité et profondeur
- Auto-organisation ou sortie du modèle manager-managé
- Raison d’être évolutionnaire
Vidéo sur les 3 principes
- Authenticité et profondeur
- Auto-organisation ou sortie du modèle manager-managé
- Raison d’être évolutionnaire
Vidéo sur les 3 principes
8 clés pour (mieux) coopérer
8 clés pour coopérer
Explorer les dimensions implicites : la face cachée de l'iceberg
Source : visuels réalisé par Solène Huberson à partir des ressources sur la maturité coopérative, Instercoop
Explorer les dimensions implicites : la face cachée de l'iceberg
Source : visuels réalisé par Solène Huberson à partir des ressources sur la maturité coopérative, Instercoop
Grandir en maturité coopérative pour être co-auteur.trices d'une oeuvre commune
L'approche posée par l'institut des territoires coopératifs part de l'intention : "Coopérer, c'est être co-auteur.trices d'une oeuvre commune". et approfondit le "comment coopérer ?". Il encourage ainsi à exercer son geste vers la maturité coopérative, définie comme "la capacité individuelle, collective et territoriale, à développer des aptitudes coopératives durables et inconditionnelles (qui ne dépendent ni du contexte, ni de la situation, ni des personnes)."
- Définition de la maturité coopérative
- Panorama des outils et ressources
- Définition de la maturité coopérative
- Panorama des outils et ressources
Co-construire les règles du faire ensemble
Quelques bonnes questions à se poser sur le chemin de la gouvernance partagée
Pour faciliter un jeu coopératif, il faut des règles !
- « Si nous imaginons notre projet comme un grand jeu collectif coopératif, comme dans n’importe quel jeu, pour que ça fonctionne, il faut des règles. Ce sera l’ensemble des règles relationnelles et organisationnelles qui permettront de répondre aux questions que posent tout projet collectif » (Université du Nous)
Les ingrédients de la gouvernance partagée... repères pour co-construire le chemin
Vidéo : La gouvernance partagée en pratique
La posture individuelle : une clé essentielle dans la coopération
La posture individuelle : une clé essentielle
Source : Université du Nous
5 compétences clés pour développer sa capacité à coopérer... d'après Radical collaboration
Source : Université du Nous
5 compétences clés pour développer sa capacité à coopérer... d'après Radical collaboration
Des modèles d'inspirations de gouvernance partagée... à ne pas ériger en vérité absolue !
Le vrai modèle, c'est de ne pas avoir de modèle mais de co-construire le chemin !
Néanmoins, quelques inspirations peuvent aider à se projeter sur ce nouveau "faire-ensemble"
Sociocratie :
La sociocratie est un mode de gouvernance qui permet à une organisation, quelle que soit sa taille — d’une famille à un pays —, de se comporter comme un organisme vivant, de s’auto-organiser. Son fondement moderne est issu des théories systémiques. L’objectif premier est de développer la co-responsabilisation des acteurs et de mettre le pouvoir de l’intelligence collective au service du succès de l’organisation.
Pour aller plus loin : La sociocratie, un mode de gouvernance participatif
Holacratie :
L’holacratie est un système organisationnel de gouvernance qui permet à une organisation de disséminer les mécanismes de prise de décision au travers d’une organisation fractale d’équipes auto-organisées. Le fondement de la théorie holacratique repose sur la raison d’être de toute organisation humaine. L’holacratie distingue donc la raison d’être (superordonnante) des personnes qui vont apporter leurs contributions au travers de leurs compétences, aptitudes et potentiels en vue de satisfaire cette raison d’être. En vue de répondre aux exigences dictées par la raison d’être d’un organisme, celui-ci va se structurer en cercles.
Le système holacratique fut développé en 2001 par Brian Robertson au sein de son entreprise de production de
logiciels (Ternary Software) en vue de mettre au point des mécanismes de gouvernance plus agiles
Pour aller plus loin : Une bd accessible gratuitement en ligne
D'autres modèles :
Gouvernance écologique (UDN)
Modèle Z : des fiches pratiques pour ne pas partir de zéro
La gouvernance cellulaire
Gouvernance cellulaire
Néanmoins, quelques inspirations peuvent aider à se projeter sur ce nouveau "faire-ensemble"
Sociocratie :
La sociocratie est un mode de gouvernance qui permet à une organisation, quelle que soit sa taille — d’une famille à un pays —, de se comporter comme un organisme vivant, de s’auto-organiser. Son fondement moderne est issu des théories systémiques. L’objectif premier est de développer la co-responsabilisation des acteurs et de mettre le pouvoir de l’intelligence collective au service du succès de l’organisation.
Pour aller plus loin : La sociocratie, un mode de gouvernance participatif
Holacratie :
L’holacratie est un système organisationnel de gouvernance qui permet à une organisation de disséminer les mécanismes de prise de décision au travers d’une organisation fractale d’équipes auto-organisées. Le fondement de la théorie holacratique repose sur la raison d’être de toute organisation humaine. L’holacratie distingue donc la raison d’être (superordonnante) des personnes qui vont apporter leurs contributions au travers de leurs compétences, aptitudes et potentiels en vue de satisfaire cette raison d’être. En vue de répondre aux exigences dictées par la raison d’être d’un organisme, celui-ci va se structurer en cercles.
Le système holacratique fut développé en 2001 par Brian Robertson au sein de son entreprise de production de
logiciels (Ternary Software) en vue de mettre au point des mécanismes de gouvernance plus agiles
Pour aller plus loin : Une bd accessible gratuitement en ligne
D'autres modèles :
Gouvernance écologique (UDN)
Modèle Z : des fiches pratiques pour ne pas partir de zéro
La gouvernance cellulaire
Gouvernance cellulaire
<< Je veux retourner à la page d'accueil du POP Vers une gouvernance partagée svp....